La ville s’ouvre
L’été pointe son nez
Les jours s’annonce clément
sans pluie, que de l’air léger
Le calme s’installe
à l’ombre, il fait vingt-sept
Quelle douceur cette journée de travail
sans fête
Les longues promenades
Les grands parcs du quartier
Les thés gourmands au bord du fleuve
sans revendications, que le son du clocher
Les couchers de soleil
aux teintes spectaculaires
L’esprit en quête de sérénité
L’œil rêveur des horizons à explorer
extraordinaires
Discover more from Les absurdités de la vie
Subscribe to get the latest posts sent to your email.